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 On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen

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Hakai N. Ongakû
Hakai N. Ongakû


Messages : 105
Date d'inscription : 28/10/2013
Age : 27
Localisation : DTC

Feuille de personnage
Participe à la Battle :: Oui
Guide :: Jin K. Levi

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MessageSujet: On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen Icon_minitimeLun 28 Oct - 23:30

Hakai Naraku Ongakû



Nom :: Ongakû
Prénom :: Hakai ; Naraku
Age :: 22
Orientation :: Bi'
Nationalité :: Japonais
Clan :: North o/ (ce rebeeeelle) (oh my, Hakai-chan)
Singularité :: Faut pas se fier complètement à son visu', il n'a pas de piercings. o/
Participe à la Battle? :: Yep ! Avec un pied-de-biche, on change pas les bonnes habitudes x)
Pseudo :: QUE CELUI QUI NE ME CONNAÎT PAS SE FLAGELLE AVEC UN CITRON - Ela' /o/
Prénom :: Liza o7
Age :: 16
Comment as-tu connu le forum ? :: C'est une histoire d'amour qui dure depuis deux ans huhu ♥
Un commentaire ? :: LES GENS, POUR LA PREMIÈRE FOIS DEPUIS DEUX ANS, JE POSTE UNE PRESENTATION NON TERMINEE, YEAAAAAH \m/
Code :: Voilà un cookie o/ [Méhy]

Let's start a riot



Physique et caractère
Un son agressif s'échappe de la salle. Certains jugeraient cela comme de la musique et se déhancheraient en rythme, déchaînés par la puissance sonore et le tempo endiablé. D'autres s'enfuiraient en se bouchant les oreilles, jugeant ce  brouhaha infernal. En réalité, c'est à la fois plus et moins que ça. C'est un jeune homme qui exprime comme il peut à quel point il va mal. C'est toujours mieux que garder tout ça enfoui, mais ça pourrait être mieux.
En ouvrant la porte, vous saurez à quoi il ressemble. Grand, très grand – et en vous renseignant un peu, vous apprendrez qu'il mesure un mètre 93, pour 85 kilos – et solidement bâti, les épaules larges, le torse solide, le ventre sculpté. Si les épaules sont évidentes, le reste ne peut être que deviné à première vue. Si vous entrez sans faire de bruit, il ne vous remarquera pas et poursuivra ce qu'il sera en train de faire : visiblement, chanter à pleins poumons en se déchaînant sur sa guitare électrique, sur un air de hard rock que vous connaîtrez peut-être si vous êtes un amateur. A moins qu'il ne joue l'une de ses quelques compositions. Quoiqu'il en soit, il finira par terminer sa chanson et en enchaînera une autre, et encore une autre, jusqu'à ce que sa voix devienne en rauque et sa gorge douloureuse. Il passera une main lasse dans ses cheveux teints en un bleu électrique avant de débrancher son ampli, et remarquera enfin votre présence. Je vous conseille de ne pas traîner dans les parages. Ce jeune homme aux traits empruntés à la fois à l'Asie et l'Europe vous fixera de ses yeux d'un bleu profond et vous sommera de partir dans la seconde. Si vous avez un minimum de présence, vous remarquerez la crispation de son poing et de sa mâchoire, la raideur de ses muscles bien dessinés sous sa veste de cuir noir et son T-shirt dans des tons sombres, et prendrez la fuite sans demander votre reste. Dans le cas contraire, vous risquez gros, et apprendrez à vos dépends que le calme, la patience et la finesse ne font pas partie de son vocabulaire. Vous aurez un aperçu de la violence parfois inouïe dont il peut faire preuve, de la colère qui l'habite, de l'impitoyable rage qu'il ressent. Mais vous ne saurez rien d'autre. Vous ne saurez rien de la peur irrépressible qui l'envahit sans prévenir et qui le mine, le détruit, et le pousse à se recroqueviller dans un coin en pleurant toutes les larmes de son corps. Vous ne saurez rien de l'amour fou et sans limites qu'il éprouve pour un corps dont il ignore même si quelqu'un vit encore à l'intérieur. Vous ne saurez rien de l'affection et du contact physique dont il a besoin. Vous ne saurez rien des dizaines de mélodies et textes inachevés qui gisent dans un classeur soigneusement dissimulé dans son appartement. Vous ne saurez rien de la solitude qu'il ressent si soudainement, alors qu'il prend des notes dans un amphithéâtre bondé. Vous ne saurez rien de ses longues soirées passées seul, à boire avidement tout l'alcool qui lui tombe sous la main, avant de s'endormir et de finalement oublier. Oublier tout. Tout ce qui fait que lui est là quand d'autres ne le sont plus. Et vous ne saurez rien de tout cela. Parce que tout ce que vous allez récolter de cette rencontre, ce sont des bleus, des hématomes, des fractures peut-être, et le souvenir de ce visage aux traits métis, déformé par la fureur.



Histoire


19 juillet. Nous sommes au plein cœur de l'été. La chaleur est étouffante en ce début d'après-midi, dans l'une des maternités de Kyôto, Japon. Une jeune femme parmi tant d'autres est en train d'accoucher. C'est long et douloureux. Ça y est, le bébé sort enfin. Bravo, disent les sages-femmes. C'est un beau bébé que vous avez là, ajoute le médecin en chef. 54cm, 3,9kg. Déjà grand pour son âge. Quelques cheveux par-ci par-là, d'un brun sombre. L'une des sages-femmes s'en étonne, mais sa collègue lui désigne la mère, exténuée, qui sert tendrement son enfant contre elle. Une Européenne. Allemande, précisément. Elles lui jettent un regard méprisant avant de sortir de la salle, pensant à ce pauvre gosse né d'un odieux métissage. Mais Adelaide Steinwald, dite Ada, ne s'en souciait guère. Elle fut rejointe à peine quelques secondes plus tard par le père, Akihiko Ongakû. Il l'embrassa tendrement sur le front avant de couver son enfant des yeux. C'est un garçon, lui glissa-t-elle. On garde le même prénom ? Bien sûr, répondit-il. Il passa les cheveux dans les longs cheveux châtains de sa femme et se rendit à l'état civil, déclarer la naissance de son fils, Akai Naraku Ongakû. Mais la vieille employée qui écrivait n'était plus toute jeune et, en plus d'avoir une ouïe médiocre, avait oublié bon nombre de kanjis. Dans le doute, elle écrivit en hiraganas. Coïncidence ? Coup du destin ? Quoi qu'il en soit, elle se trompa et écrivit « Hakai ». Ainsi, l'enfant qui devait porter du rouge portera de l'écarlate.

Cette méprise surprit les parents du jeune garçon mais ceux-ci s'en amusèrent et décidèrent de le garder ainsi. Le petit Hakai grandit rapidement. Ses parents, amoureux du Japon traditionnel, ne laissaient pas passer une seule occasion de l'immerger dans cette culture, ce qui l'agaçait beaucoup. Tous ces festivals, ces vêtements, ces défilés, tout cela ne lui plaisait pas. Non, il n'aimait pas cela, la foule, les cris. Mais il craignait les colères de sa mère qui valait plus que largement les siennes, et se pliait donc à ses exigences.

A l'école, il n'était pas très bien vu. Très grand pour son âge, les traits métissés, les cheveux brun clair et non pas noir, comme la quasi-totalité des élèves. Sa mère est européenne, disait-on en le pointant du doigt. Et que dire de son père, qui l'a appelé Hakai, ajoutaient les professeurs. Ses amis s'en fichaient, mais ils n'étaient pas nombreux. Un jour, l'un des élèves se moqua de lui plus fort que les autres. Il n'aurait pas dû.

Hakai ne savait pas tout ce qu'on disait sur lui. Mais ce garçon lui envoya tout à la figure. Et Hakai vit rouge. Il n'avait jamais été calme, mais cette haine qu'on lui crachait au visage sans qu'il comprenne pourquoi, il savait qu'il ne l'avait pas méritée. Et cette frustration, cette colère, il la libéra immédiatement, sans réfléchir. Le gamin d'en face ne se réveilla que plus tard, dans un lit d'hôpital, le nez cassé par le formidable coup de boule que lui avait assené l'Eurasien.

Après la destruction, ce fut l'enfer. Ses rares amis l'abandonnèrent, à raison, sans doute. Il fut seul. Être seul à neuf ans, c'est horrible, n'est-ce-pas ? Mais il l'a mérité, disaient-ils. Il nous fait peur. Il est effrayant. Il n'y a qu'à le regarder dans les yeux ; des yeux aussi sombres, aussi vides, ça ne devrait pas exister. C'est le fils des Enfers, criaient-ils en le voyant arriver, s'égaillant dans tous les sens. C'était toujours la musique qui accompagnait la destruction infernale.

A chaque fois qu'il entendait cela, Hakai frappait. Toujours plus, toujours plus fort. Ses parents s'en inquiétaient. Il ne leur obéissait plus, refusant d'aller à leurs stupides festivals traditionnels, de porter ces stupides kimonos. Les hurlements de colère retentissaient plus souvent que jamais dans la maison traditionnelle. Et puis tout bascula.

Adelaide Steinwald apprit qu'elle était trompée. Succombant à la colère, au dégoût et au désespoir, elle saisit l'un des katanas précieusement conservés dans la maison et assassina son époux, tailladant sa chair jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'une masse informe couverte de sang. Elle resta quelques instants ainsi, à reprendre sa respiration, avant de se mettre à trembler. Son sabre lui échappa des mains, et elle contempla le cadavre immonde de l'homme qu'elle avait aimé. Qu'avait-elle fait ? Les larmes s'échappèrent et coururent vers la liberté qui leur était offerte. Elle n'était qu'un monstre. Un odieux monstre, qui arrachait à son fils ce qui lui restait de vie normale. Après une hésitation, elle se décida. Il ne devait pas savoir. Jamais. Et elle devait l'éloigner d'elle, sinon il deviendrait comme elle, un monstre ignoble, abject, esclave de ses pulsions destructrices.

L'enterrement eut lieu quelques jours plus tard. Hakai pleura de rage et sa mère sentit son cœur se serrer. C'était sa faute. Sa faute si son enfant était dans cet état-là. Non, il ne devait plus poser les yeux sur elle, ou lui aussi sombrerait. Pour la première fois, elle se prit à regretter les prénoms qu'ils avaient choisis. Était-ce un signe ? Hakai était-il voué à ne jamais être heureux ? Ses larmes coulaient tandis qu'elle pensait à tout cela. Elle était ignoble. Ne méritait pas la vie. Elle se résolut à se séparer de son seul enfant et l'envoya chez ses grands-parents maternels. Tout se passera bien, répéta-t-elle, comme si elle-même cherchait à s'en persuader. Tu seras heureux, là-bas. Je reviendrai bientôt te chercher. Je reviendrai...

Elle ne revint pas. Hakai n'aimait pas cette vie à la campagne, faite d'école, de goûters, de calme. Il ne parlait pas allemand et ne comprenait pas ce qui se passait autour de lui. Les autres enfants se moquaient de ses traits asiatiques. Je ne serai donc à ma place nulle part, se disait-il. Ses grands-parents l'aimaient, même s'il ne les avait jamais rencontrés auparavant. Les jours s'écoulaient. Son âme était consumée, déchirée entre la tristesse et la colère. Ce fut la rage qui l'emporta. Il ne pouvait plus jouer de la guitare, ses nouveaux tuteurs n'aimant pas les sons brutaux qu'il en tirait. Il tint deux ans. Deux ans de mal-être, de discorde, de torture. Sa mère finit par le récupérer, cédant sous les alertes de ses parents et les demandes pressantes de son fils, mais elle ne savait que faire. Elle ne pouvait pas le garder avec elle. Pendant un an, elle changea régulièrement de domicile, espérant ainsi qu'à force d'être déraciné, il finirait par la détester. Mais non. Il l'aimait, il était heureux avec elle, même si cela lui rappelait l'absence de son père. Prise de remords, terriblement honteuse, elle faillit tout lui avouer. Faillit. A la place, elle le plaça en internat à 13 ans, au premier établissement qu'elle trouva. Encore une fois, on peut se poser la question. Coïncidence ? Coup du destin ? Infinite World. Tout se déroula très vite. Elle l'inscrivit sans son avis, prétexta une terrible maladie, et joua sur la corde sensible pour qu'il parte. Cela marcha. Elle lui promit de venir le voir souvent.
Elle ne vint jamais.

Il y resta quatre ans. Quatre ans de détresse intense, que les joies qu'il a éprouvées ne parviennent pas à atténuer. En réalité, il a été heureux, malgré ses doutes, ses peurs, ses peines. Durant les trois premières années, à la louche, lorsqu'il a enfin pu joueur comme il le désirait, puis lorsqu'il a fondé son groupe avec ses amis. Et ensuite, il a sombré. Sombré dans le vert éclatant de prunelles rieuses. Il est tombé amoureux de la dernière personne qu'il aurait désirée : un jeune homme de son âge, aux cheveux teints en rouge, au caractère volage et séducteur. Tout son opposé. Ils sont sortis ensemble plusieurs mois, dans le plus grand secret, Hakai ne désirant pas que leur relation soit connue. Mais dans ce cas-là, peut-on réellement parler de « sortir ensemble » ? Coucher ensemble serait plus exact. Oh, leurs sentiments étaient profonds et sincères, là n'est pas la question. Mais faire comme si de rien n'était le jour, et atteindre l'extase la nuit, est-ce vraiment le quotidien d'un couple bien dans sa peau ?

Mais plus le temps passait, plus Hakai se sentait mal. Affreusement mal. Les tromperies à répétition de son amant le blessaient. Terriblement. Il avait besoin de se sentir aimé, désiré, lui, exclusivement lui. Il savait que lui aussi était en faute, mais la sienne lui paraissait infiniment moins grave. Pourquoi... ? Malgré tout, il espérait encore d'être réellement aimé.

La question que vous devez vous poser est la suivante : et la rupture ? Il n'y en a pas eu. Tout simplement parce que le bellâtre n'a pas ouvert les yeux depuis cinq ans.

Hakai était, de base, quelqu'un de très instable émotionnellement. Ajoutez ça l'explosion de ce qui était, envers et contre tout, son foyer, et vous effleurez la folie.

La folie, Hakai la côtoie depuis cinq longues années, il danse avec elle, en tentant de ne pas se laisser entraîner. Il n'a jamais beaucoup d'amis. Ouvrez votre main, écartez vos doigts. Repliez-en deux. Courbez-en deux autres. N'en laissez qu'un debout. Vous aurez un aperçu de son cercle d'amis actuel.

Deux d'entre eux sont morts dans l'explosion. Deux autres ont été gravement blessés et sont toujours plongés dans le coma. Seule la dernière est restée en vie.

Alors que faire, à présent ? Orphelin de père, abandonné par sa mère, détruit par la mort de ses amis, dévoré par l'angoisse de voir l'homme qu'il aime ne jamais se réveiller, Hakai est brisé, miné, et la peur dispute son cœur à la rage. Il est terrifié de sombrer dans le gouffre de la haine. Tout ce qu'il désire, c'est s'enfuir, quitter cette île, et emmener avec lui les corps maintenus en vie et la seule personne vivante qui lui reste. Il se fout de connaître les objectifs finaux du nouveau directeur, il se fout de savoir qui est à la solde du corps enseignant et qui est à la botte de l'État. Il veut partir. Juste partir. Et pouvoir enfin retrouver un équilibre mental. Retrouver sa mère. Voir ses amis se lever, marcher, lui sourire. Chanter, non plus pour exprimer son malheur et sa colère, mais le bonheur qu'il recherche désespérément.



Dernière édition par Hakai N. Ongakû le Jeu 7 Nov - 13:57, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen Icon_minitimeMar 29 Oct - 14:42

Bienvenue Halkaïda ! 8D
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MessageSujet: Re: On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen Icon_minitimeMar 29 Oct - 14:49

En effet bienvenue! +w+
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MessageSujet: Re: On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen Icon_minitimeMer 30 Oct - 18:33

*morte en lisant le message de Neo'*

Bienvenue. \o/
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MessageSujet: Re: On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen Icon_minitimeMer 30 Oct - 19:09

Désolée Charly, c'est ma signature. 8'D
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MessageSujet: Re: On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen Icon_minitimeJeu 7 Nov - 13:58

Présentation terminée ! \o/
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MessageSujet: Re: On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen Icon_minitimeJeu 7 Nov - 14:30


T'ES ENFIN VALIDÉ ! CHANCEUX !




Que dire à par : FAIS MOI L'AMOUR, AYONS DES BÉBÉS ENSEMBLE !
Tu gères, c'tout ~

Bravo, tu es validé, bienvenue chez les North.

Tu peux dès à présent recenser ton avatar ici, demander à ce qu’on t’attribue un guide ici, à faire une demande de RP ici et même créer tes sujets personnels : dossier et portables.


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MessageSujet: Re: On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen On the ground I lay, motionless in pain ✖ Jigoku Shônen Icon_minitime

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